Témoignage : accroc au sexe en voiture ! | NousLib

Témoignage : accroc au sexe en voiture !

Notre coquine du jour s’appelle Mona, a 37 ans et adore le sexe en voiture. Pas que. Mais quand même beaucoup. Tombée dedans à l’adolescence, elle a accepté de nous raconter pourquoi le sexe outdoor est une telle passion.

Une belle coquine qui a commencé très jeune

Bonjour, Mona. Peux-tu te décrire pour nos lecteurs s’il-te-plait et nous parler un peu de toi ?

Bonjour Léa. Eh bien, je suis plutôt mince, cheveux mi-longs châtains clairs, j’ai des petits seins et un petit cul mais une grande bouche ! Et je suis une grosse coquine. Il parait que ça se voit dans mes yeux ! Après parler de moi… Eh bien, je suis libertine depuis assez jeune en fait, même si à l’époque on mettait pas vraiment un nom sur ce qu’on faisait. J’ai un boulot de responsable pour une marque de cosmétiques de luxe qui m’amène souvent sur les routes, tirées à quatre épingles. Vu ma grande passion pour le sexe en voiture, ça m’amuse toujours de constater à quel point mon boulot est une tentation permanente pour moi !

Justement, peux-tu nous en dire plus sur ce sujet ? Comment est-ce que tout a commencé pour toi ?

Assez jeune en fait. Ben ma première fois… Et même les petites séances de touche-culotte avant ça… C’était dans la voiture de mon petit copain de l’époque. Avec un autre couple de copains ! Nos parents étaient assez stricts, tous les quatre on traînait tout le temps ensemble, on faisait le mur pour se retrouver le soir, on se sifflait des bouteilles piquées dans le bar des parents de l’un ou l’autre… Et puis, l’alcool aidant, ça finissait souvent chaque couple de son côté à se peloter comme il faut ! J’aimais bien cette époque un peu innocente, presque naïve. Rétrospectivement, on vivait nos premières expériences côte-à-côtistes ! C’était grisant. On s’entrainait mutuellement dans du toujours plus. Jusqu’au jour où… On est allé jusqu’au bout !

Les années lycées

Wow ! En effet, tu as commencé très fort ! Et après ?

Après mes parents ont déménagé et moi avec (mon père était militaire, donc on bougeait souvent). J’étais très triste ! Sur le coup, j’avais l’impression que c’était la fin du monde ! Et puis, j’ai rencontré d’autres potes, d’autres petits copains et ma vie a continué. Le sexe en voiture a continué lui aussi vu qu’on ne pouvait toujours pas aller chez les parents de l’un ou de l’autre. Les bouteilles piquées dans le bar parental pareil. On faisait souvent des fêtes en extérieur. Un feu de camp, trois voitures, la radio et ça suffisait ! Et bien sûr, ça finissait souvent en queue de poisson dans la voiture de l’un ou de l’autre ! C’était pas encore des partouzes, mais franchement, c’était déjà chaud quand même… On était plusieurs couples à copuler côte-à-côte dans des voitures, y’avait zéro intimité. Et zéro volonté d’intimité ! C’était très exhib/voyeurs comme ambiance ! Bref, c’étaient les années lycées !

Et puis un jour, l’indépendance !

Ensuite, tu es partie à la fac, où tu as enfin eu ton indépendance, c’est bien ça ? Tu as dû enfin en profiter !

Plus ou moins. Je suis partie en école de commerce et j’avais une chambre sur le campus. Mais de suite, l’ambiance de l’école m’a calmée et j’ai pas trop eu envie, pardon pour l’expression, de baiser là où je bouffais. Je trouvais mes camarades, mecs comme nanas, à la fois très portés sur le cul mais très immatures. C’était assez contradictoire. D’un côté, ils parlaient tout le temps de cul mais en gros dès qu’une nana aimait ou même juste avait l’air d’aimer le cul, elle se faisait descendre, avec la réputation qui va avec. J’avais pas envie de ça ! Et puis ça n’avait rien à voir avec ma propre expérience open et décomplexée du sexe. Donc à l’école, je l’ai joué discrète pendant 5 ans.

Et en dehors ?

(Elle sourit) En dehors, j’étais une vraie salope ! Comme je ne voulais pas tomber sur des gens de ma promo, je sortais de l’autre côté de la ville. Il y avait notamment un petit bois où j’allais courir de temps en temps et j’avais remarqué un coin de rencontres, un peu en retrait sur le parking. Alors, parfois, je traînais un peu plus tard le soir, histoire de voir ce qui s’y passait (ça me rappelait mes premiers amours) Et j’étais pas la seule. C’était un coin de dogging !

Dès la première fois, je tombe sur un couple en train de s’envoyer en l’air dans leur caisse à la vue de 3 autres mecs qui s’étaient garés pas loin. Y’en avait un, particulièrement mignon, mais genre, vraiment très mignon. Donc je me suis approchée, je lui ai souri, il m’a souri, puis il m’a proposé de monter dans sa voiture. Je crois qu’on a juste eu le temps de se dire je m’appelle machin, je m’appelle truc qu’on était déjà en train de se rouler de gros patins ! Les autres voyeurs étaient à la fois complétement dég et trop chanceux d’avoir deux couples en train de s’envoyer en l’air en même temps. Cette fois-là, je ne les ai pas laissé aller plus loin que le matage.

Naissance d’une libertine

Mais par la suite, oui ?

(Re grand sourire) Oh oui ! Je me suis trouvée un sex-friend de confiance avec qui m’exhiber, histoire qu’il puisse gérer les relous au cas où et assez open aussi. Et puis, on a commencé à se faire des petites séances de baise outdoor dans des coins propices au voyeurisme. On n’a pas tardé à rencontrer des petits copains et c’est comme ça que j’ai eu mon premier trio. Et ça, c’était complètement hallucinant !

Pourtant, la situation était assez ordinaire. Le type est arrivé, mon pote avait la main dans ma culotte à me toucher comme il savait si bien le faire (vive les sex-friends sérieux !), donc j’étais même pas déshabillée ou quoi. Mais ce jour-là, je sais pas, j’ai de suite eu envie de plus ! Donc j’ai fait signe à mon pote d’ouvrir la porte, l’autre s’est approché, à commencer à se caresser. J’ai tendu la bouche, lui son sexe… Et là, mon pote a eu une réaction extraordinaire, je trouve. Pas jaloux pour deux balles, il est sorti de la voiture et m’a déplacée sur le siège de façon à ce que moi je puisse continuer de sucer l’autre mec pendant que lui me faisait un cunni ! Mais c’était génial ! Après bien sûr, on ne s’est pas arrêté en si bon chemin, mais ça c’est une histoire déjà un peu plus classique.

Tu disais que c’était ton premier trio ? Il y a eu plus par la suite ?

En fait c’est cette histoire qui m’a fait comprendre ce que j’étais vraiment. On en a beaucoup discuté avec mon pote, on avait beaucoup apprécié tous les deux. Lui a commencé à me parler de libertinage, un monde qu’il connaissait déjà bien (d’où sa réaction) et auquel il m’a initiée. On a continué de se voir un moment, mais j’ai aussi rencontré d’autres libertins avec lesquels j’ai sex-friendé et c’était de chouettes moments aussi. J’ai eu des expériences de plus en plus folles, avec de plus en plus de participants. Et puis un jour, j’ai rencontré l’homme de ma vie, celui avec qui je suis encore aujourd’hui.

La trépidante vie de couple d’une coquine

Un libertin ?

Oui, un libertin. C’était indispensable pour pouvoir vivre avec moi !

Et comment ça se passe entre vous aujourd’hui ?

Comme je disais tout à l’heure, mon boulot est une vraie tentation. Je suis toujours fringuée super classe (le monde du luxe aime les nanas en jupes tailleur et talons !) et constamment sur la route. Donc il y a les rencontres que je fais sur la route bien sûr et que je ne manque pas de raconter dans les moindres détails à mon homme (pas de tromperie entre nous, que du partage). Et puis, il y a nos propres escapades. J’aime toujours autant le sexe en voiture, « seule » ou à deux. Ça me rappelle bien sûr mes premiers émois, une certaine ambiance et puis c’est aussi l’assurance de ne jamais tomber dans la routine. On ne sait jamais sur qui on va tomber, ce qu’il va se passer, et ça, c’est très excitant !

Est-ce que tu aimerais dire un dernier mot pour nos lecteurs ?

Un conseil peut-être. Pour sexer en voiture, choisissez une voiture avec des sièges avant assez larges et qui s’allongent à fond. Et si vous souhaitez rester un minimum discrets, évitez les modèles avec le klaxon sur le volant ! A part ça, juste de bien vous amuser !

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*Pssst ! Souvenez-vous : article 222-32 du Code Pénal : “l’exhibition sexuelle imposée à la vue d’autrui dans un lieu accessible aux regards du public est punie d’un an d’emprisonnement et de 15000 euros d’amende.”

Photo : pexels

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