« Mon boss était libertin et j’ai adoré ça ! »
Elle s’appelle Pauline, a bientôt la trentaine et commence à avoir bien roulé sa bosse. Aujourd’hui, cette aventurière de la vie et du sexe a eu envie de venir partager une des premières fois qui ont contribué à faire d’elle la libertine qu’elle est devenue. Magneto Serge !
« C’était lors de ma dernière année de fac.
J’avais eu du mal à trouver un boulot cet été là car j’étais partie en Érasmus au Vietnam pendant 6 mois. En rentrant, ne trouvant pas grand-chose, j’avais fini par accepter un poste de manager à l’OFUP, vous savez les étudiants pénibles qui, à chaque rentrée, essaient de vous vendre des abonnements de magazines ? Bon, ben c’était moi. Enfin, mon équipe. Au-dessus de moi, y avait Yohann, le troublant et séduisant directeur régional qui couvrait aussi bien la ville de Bordeaux que celle de Toulouse où il vivait. Pour des raisons logistiques, j’avais déjà plusieurs fois fait le trajet entre les deux avec lui. J’y avais, entre autres, rencontré mes pairs. On avait d’ailleurs assez bien accroché et ça faisait plusieurs semaines qu’on se disait que ce serait sympa de se faire une soirée tous ensemble. On chambrait Yohann pour la faire chez lui. À notre grand étonnement, il a accepté. À mon plus grand étonnement encore, il m’a proposée de m’héberger pour le week-end.
Le jour J, je débarque donc chez lui avec mon sac à dos.
On a avait pas mal fantasmé sur lui avec Julie, l’autre manager. Il faut dire qu’il y avait de quoi : la trentaine passée, bien bâti, crané rasé, yeux bleus azurs, bouche pulpeuse, toujours en costard… Il avait à la fois la classe et un je ne sais quoi dans les yeux qui criait « Toi je vais te prendre sur la table et t’arracher ta culotte tu vas rien comprendre ma grande ! ». Et honnêtement, rien qu’à l’idée, ma culotte à moi était à deux doigts de s’évanouir… Dans la nature ! J’arrive donc chez lui, plutôt confiante en mon 90D mais quand même assez impressionnée par ce fantasme sur patte. Très convivial, il me met à l’aise direct, me montre ma chambre, la sienne juste à côté. Pour la soirée, je passe une tenue plus décontract, une petite jupe qui volette juste ce qu’il faut et un décolleté qui, ma foi, joue bien son rôle. Ce faisant, je laisse la porte entrouverte… De l’autre côté, je surprends un regard bleu azur me lorgner sans aucune retenue. Puis les autres invités arrivent et la soirée commence.
Au programme, un guacamole maison, du ceviche de saumon, un Mojito de framboises…
… Et d’autres mets tout aussi intéressants disposés en buffet. La musique est bonne tout le monde s’amuse. Comme j’ai aidé à préparer, je joue aussi les hôtesses. Yohann ne manque pas une occasion de toucher mes mains à chaque fois que je lui passe un plat. Finalement nous nous retrouvons dans la cuisine. J’essaie d’attraper un verre dans un placard du haut. « Attends je vais t’aider…« . Il plaque sa main contre mes reins, m’obligeant à rester dos à lui puis il se colle contre moi. Il fait mine d’ouvrir le placard mais son autre main descend sous ma jupe. Il me caresse les fesses, je me cambre contre lui. Il passe sa main devant, écarte ma culotte et promène un doigt sur mes lèvres puis entre en moi. Nous ne parlons pas, pas besoin. Mais tandis que son doigt glisse en moi, j’ai du mal à me retenir de gémir. Surtout avec les autres si près, c’est très, très chaud ! Et puis c’est quand même mon boss, merde ! Il finit par s’arrêter. Le temps que je me retourne, il a quitté la cuisine. Je remets de l’ordre dans ma tenue, souffle un bon coup et rejoins les autres qui ont commencé à jouer à Time’s Up.
On est tous comme des sardines sur les canaps…
… Et je me retrouve par le plus grand des hasards (mouais, enfin tu m’as compris…) serrée contre Yohann. Alors que tous les autres sont là, à genre deux centimètres de nous même pas, sa main retrouve le chemin de mes dessous. Je suis pétrifiée. Il ne vas quand même pas oser ? Pas avec tout le monde autour ? Si, il ose. De nouveau je sens ses doigts en moi. Je ne peux pas faire un seul mouvement, j’ose à peine respirer. C’est à la fois exquis et horrible ! Je ne sais même de quoi j’ai le plus peur : que les autres nous surprennent ou qu’il s’arrête. Mais personne ne se rend compte de rien, tout excités qu’ils sont par le jeu ! J’en reviens même pas. Il finit par s’arrêter avant la fin du jeu, à mon grand désarroi soulagement. Je me lève et pars dans la salle de bain sous un prétexte bidon. Il me met tellement le feu que j’ai peur de partir en combustion spontanée s’il continue comme ça. Il faut que je me fasse jouir ! Je m’appuies contre la machine à laver et commence à me caresser, tout en fermant les yeux. Quand je les ouvre, il est bien évidemment devant moi, sa saloperie sourire carnassier aux lèvres. « Mais les autres ??? » Il élude ma question, m’attrape par les hanches et me pose sur la machine puis il plonge sa langue en moi. C’est à la fois si brusque et si attendu que j’explose en un rien de temps ! Pendant que je reprends mon souffle, toujours son maudit sourire collé aux lèvres, il me susurre » Alors petite fille, comme ça, tu as voulu jouer avec le loup ? Il vient de te trouver. Et dis toi que le week-end ne fait que commencer ma grande… » Et sur ce, il tourne les talons et me laisse pantelante…
Quant à la suite du week-end justement… Je vous raconte ça dans le prochain épisode ?
Photo : pexels
Article mis à jour le, 13/12/21